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00:00T’ as voulu disputer notre titre,
la promiscuité d’ton style
fait d’toi un « Yves Duteil en string »,
maintenant, tu veux discuter gentil.
T’as utilisé les grands moyens comme un t-rex sur une truite !
Mais ça n’embellit rien comme un teddy Avirex sur une truie !
Rien ne ressuscite, t’auras beau lire et r’lire les psaumes…
La ligne de tram de Saint-Denis à Noisy Le Sec est pauvre.
Alcoolisé, accablé par l’anonymat, la paranoïa,
par là la liqueur, voilà le dilemme quand mes membres tremblent
En cas de danger, je calme les gens, je suis inconscient
Pas d’élégance, allez les cancres, au poste, les keufs t’ont cassé les dents,
quand les chiennes se baissent c’est pour qu’on les prenne.
Tout y passe, ne soupire pas ,
n’oublie pas le goût des autres et toute image est calligraphique,
mes dents rayent le parquet, je me plais, me décale si l’abîme te kidnappe;
ma haine est calcinatrice…
Refrain :
Nous sommes La Caution, ne cherche rien d’autre ailleurs
Sucker mc’s font la gueule de Michael Myers
Tu voulais notre royaume, t’as soudoyé notre bailleur…
Maître dans l’art de l’egotrip, les mégots gisent dans l’métro vide, je m’égosille,
j’ai l’cerveau vide, je vais trop vite sur cette musique électronique, désert hostile
hétéroclite, ai-je l’air hostile ou exotique, intellectuel ou terroriste.
Je reste discret comme un génocide à l’héroïne à peine audible
Emotif je négocie, mes nerfs optiques me terrorisent
Quand j’hallucine c’est personnel comme cette colère qui me sert d’hôtel,
Se mêle au stress, demande au père nöel : une guerre honnête,
protège les gosses d’obèses, prépare les prothèses pour les gosses de l’axe.
Ai-je l’air mauvais, mon thermomètre est erroné, mercurochrome et kerozen,
de la merde jusqu’au trône le cerveau saigne! de la merde jusqu’au trône le cerveau saigne!
J’suis un géant des méandres, un mec vrai et bienséant (C’est vrai !)
devenu gérant en payant, éclairant de néons le néant. (C’est vrai !)
Tu veux truande nos buanderies puantes, huer nos mutants et mutantes ? (C’est vrai !)
Hier, un dilemme s’est mué…Le mur sans la truelle, c’est cruel !
Bien dans mes mules et mes nuances, j’suis l’émule de mes influences,
de ma rivière de concerts et de tous ses confluents.
Noisy, ses rues et cette sueur qui m’eût vite induit en erreur,
qui m’eût vu longtemps en errance et cette musique fut une lueur.
Rejoins la ruée vers tuer dans une caisse aux vitres teintées
et à la buée vert « bouteille »…J’ai bien dû m’évertuer…
Endosse le pus de mes humeurs, le surplus de leurs nuées,
sache qu’il n’y aura plus de Nikkfurie pour un avenir de lémurien !
Refrain
J’ai vu ta cramouille dans la vouivre après que t’ais quitté l’école,
les numéros des teur-inspec, sur ton Bouygues telecom,
donc si ta weed téléporte tes fournisseurs au poste :
t’as la minch et la maille, moi j’ai la bite et les bawls…
J’viens de là ou un gros orgueil mène au cercueil
et pour certains le cul mène a Mercury.
Nikkfurie le tyrannique…La Méditerranée renaît !
Les pyramides se stigmatisent : j’ai médité ma préretraite.
J’ai édité une vitamine de rap, la qualité en elle ,
plébiscité un vis à vis de taille au tibia/péroné…
J’ai mis la limite à la tendinite, jetez l’éponge
avant de finir comme l’unique eunuque énigme : Amanda Lear !
Mon leitmotiv c’est de l’explosif
quand je préconise le recel et l’escroquerie
par hectolitre névrotique, paraît qu’t’es laid
Tu mémorises ma gueule de ghetto type,
c’est mon arsenal de réseau gris
compatible comme pédophile et peine de mort,
anecdotique je reste au bord de cette chronique de nécropole
Est-elle hostile je paye le prix et c’est l’autisme.
Refrain